les longs jours de fermeture

Meirrion venait d'atterir par terre la tête la première. Il fut d'ailleurs un peu sonné et tenta de se relever et de retrouver ses esprits. Hélas pour lui, c'était le dernier des soucis du barbare qui après avoir faille le trancher, le saisit et lui dit quelque chose. Le voleur ne comprit rien du tout à cause de son état et ne broncha pas. Il se demnada d'ailleurs ce qu'il était en train de faire en l'air... Mince ! Il avait encore servit de projectile ! La vitesse lui fit recouvrer sa tête et il se surprit à crier les dagues en avant :

"Technique de la Blietzgrig !"

Décidément, il n'avait pas du tout les idées claires ! Il transperça l'orc aussi facilement que l'on coupe une tomate et atterit cette fois-ci sur la tête d'un second orc. Le choc avait rompu la nuque de la seconde créature. Se rendant compte qu'il avait été plutôt chanceux cette fois-ci, il décidaz d'utiliser la technique secrète du renard futé de Jordanie : la technique du mort. Il s'allongea tel un orc ivre fatigué.

Gelderald était impressionné par la technique bizarre mais, néanmoins efficace que venait d'effectuer le voleur...

*Hé, bé, encore un qu'a pris des crevetola au p'tit déjeuner...Bon, au moins, ça marche !*

Et, à son tour, voyant qu'il y avait plus d'orcs qu'il ne le coyait, il s'élança à so n tour dans la mêlée...L'épée devant lui et bien décider à brutaliser cette masse compacte et bien verdâtre...

"Kaméham...Euh, non...Baston !"

Et ce fut une grande hécatombe pour les orcs qui se trouvaient en première ligne...L'elfe, qui venait d'être secourue par le voleur volant, vit une mèche de ses cheveux roux se faire couper par un mouvement vif de l'épée de Gelderald tâchée par le sang des ignobles créatures qu'il pourfendait...Il faillit, dans sa bonne humeur guerrière, trancher de nouveau Meirrion mais ne rata pas l'orc qui se tenait derrière lui...

*Ca me rapelle le 'Whole sheep barbecue club' de Chnafon ! Ah, la pulvérisation des mannequins d'entraînement, le tranchage de pastèques elfiques, le bon vieux temps...*

Le barbare hallucinait et ne se sentit pas vraiment dans son assiette pendant qu'il combattait, ce qui lui valut de se ramasser un bon coup de masse de la part d'un orc imposant...Reprenant ses esprits après ce réveil bourrin, il s'écria...

"Tu vas voir ta gueule !"

Inwe jouait avec le cerveau de l'orc quand du sang lui éclaboussa le dos.

"MA TUNIIIIIIQUE!!" cria t'elle en se retournant pour voir qui était le responsable de se carnage. Elle aperçut un ôrc juste derriere elle. L'elfe leva son épée et s'aperçut qu'il était mort.

*Tant mieux j'aurais pas voulu le tuer!*

Du coin de l'oeil elle aperçut le voleur s'écraser sur un autre orc et lui briser le coup. Puis, sans avoir le temps de réagir, elle vit le barbare se jeter dans les orcs (qui avaient du s'accoupler plus vite que des lapins enragés car il y en avait plus qu'avant) en criant. L'épée du barbare passa très près du visage d'Inwe.

*mais euh ju sûre qu'il m'a décoiffée!!*

La grande elfe rousse ne pouvait pas mieux dire étant donné qu'alors qu'elle sortait son miroir pour observer l'étendue des dégâts, une mèche de ses beaux cheveux roux lui tomba sur le nez.

"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH "

Aveuglé par la mèche de cheveux qui lui pendait devant les yeux, Inwe fonça dans le tas des orcs puants. Une fois qu'elle fut sure que la plupart des créatures ne la dérangerait pas, elle se planta devant le barbare et le domina de toute sa hauteur (pas compliqué, elle était plus grande que lui ) et planta son regard dans le haume du petit barbare.

"Khéradras...tu vas me le payer." annoça t'elle en mettant sa mèche coupée sous le nez de Gelderald.

Tandis que Meirrion termina sa technique du mort et se relevait penaud à cause du vol sanglant qu'il avait pratiqué quelques minutes auparavant, trois orcs pas très malins foncaient dans se direction.

*Je fais quoi là ? *

Sentant sa dernière heure arrivée et n'ayant plus la force et le courage (comme d'hab') de se battre, il prit ses deux dagues dans les mains, les leva bien haut en l'air et déclara :

"La bourse ou la vie !"

Les orcs stoppèrent net leur attaque, le voleur crut dans un premier temps qu'il était parvenu à effrayer les créatures laides, mais il constata dans un second temps qu'elles se tordaient de rire en fait. Vexé, au plus profond de lui-même, il jeta ses deux dagues férocément, elle tuèrent sur le coup deux orcs à la tête. Et, alors que le dernier se relevait, furieux, il prépara ses cures-dents et les lança rapidement. Il avait réussi ! Néammoin, il ne le cria pas, et observa silencieusement la situation de ses compères. Ils étaient en train de se diputer !

*Pas bon ça !*

Il ne savait pas quoi faire, et lança nerveusement deux de ses projectiles dans chacune de leurs jambes. Ils se retournèrent vers lui, le regard tueur, il mentit pour sa défense en désignant un autre groupe d'orcs:

"C'est pas moi ! C'est eux, il me les ont volés !"

*Cassos !*

Ne sachant pas si son mensonge allait opéré, il commença à se mélanger avec les cadvres saignants.

Un peu plus loin, Eryndis qui s'était arrêtée après avoir entenduun urlement d'une voix qui semblait être celle d'une Elfe entra dans le donjon Moche et qui sentait vraiment mauvais. Elle se mit à courrir. L'entrée était ouverte (bien entendu) Elle s'élança dans les corridors et lors d'un embranchement s'arrêta . Les bruit de baston se rapprochait. Elle s'éanca à nouveau pour s'arreter bien vite en découvrant le carnage. Un barbare et une Elfe (surement celle qui avait hurlé) se disputait. Des gobelins étaient à terre ou debout. Tous la bataille s'était arrêtée : L'Elfe était décoiffée. Un voleur et un avnturier regardaient la scène avec apréhension.

Gelderald n'apprécia pas qu'on lui parle sur ce ton et qu'on se tienne devant lui dans cette posture surtout quand la personne concernée est plus grande que lui...Il sentit l'odeur du parfum Loréliane excelcior dont la mêche de cheveux sous son nez en était imprègnée...L'odeur lui fut si fort désagréable qu'il éternua violemment en se retournant d'un geste brusque sans manquer, dans son mouvement de laisser traîner son bras qui faillit atterrir dans le visage d'Inwe...

*Pétard ! Et dire que je croyais que Smiffy puait quand je l'utilisais ! Ah, la vache ! Ca dépasse tout ce que je pouvais imaginer !*

Gelderald se retourna vers l'elfe et leva sa tête pour planter son regard dans le sien...Il déclara en criant quelques paroles qui ne furent guère agréables à endurer...

"Evidemment que je l'ai coupée ta mêche ! Mais s'il n'y avait pas une grande rousse à la noix qui à elle seule fait foirer toute une baston en plein milieu de la mêlée, peut-être que cet accident aurait pu être évité ! Alors, camembert !"

*Une grande rousse à la noix? Il parle de qui?*

Se demandant cela, Inwe aperçu une nouvelle arrivante. Une autre grande elfe rousse.

"Comment oses-tu t'en prendre à elle?? Elle vient d'arriver la pauvre! Elle à pas pu faire foirer le combat vu qu'elle était pas là!"

Inwe ne comprenait pas comment le barbare pouvait être si méchant avec la pauvre elfe qui semblait un peu perdue. Dans un élan de compassion, Inwe se retourna vers la nouvelle venue.

"Je suis désolé que ce ...barbare t'accueuille aussi méchamment. M'enfin ne fait pas attention à lui. Moua c'est Inwe!"

L'elfe avait dit le mot 'barbare' avec autant de dégoût que s'il s'agissait d'un nain et elle avait terminé sa réplique en tendant la main à l'autre elfe.

*Bon, je laisse tomber, c'est vraiment la merde, cette histoire à la schnüüt !*

Le barbare énervé donna un puissant coup de pied dans un gobelin agonisant qui fit une bonne dizaine de mètres avant de se vôtrer lamentablement par terre plus loin dans le corridor...

*Regardez moi ça, madame fait sa mijaurée auprès de sa nouvelle associée rien que pour m'en foutre plein la poire ! Et attend, c'est pas fini, le voleur va-t-il adhérer à ce front anti barbare râleur ?*

En pensant que la réponse serait 'oui', il alla trouver une autre créature sur laquelle il pouvait atténuer en partie son courroux...Ce fut un orc unijambiste qui eut ce malheureux sort...

[HJ : puis-je me joindre a vous ??? si vous etre trop nombreux ou trop loin dans la quete ou simplement vous ne voulez pas d'un autre partenaire dite le sinon je vous rejoindrait allez merci bon jeu]

[Eh Inwe je crois que c'est après toi que le barbare en as ..., pas moi ! A attends j'ai compris ... ]

Eryndis était térrifiée le gros barbare qui était énervé contre l'Elfe. Celle-ci avait esquissé un regard dans sa direction et semblait en rage contre le barbare. Celui- ci la fixait toujours d'un mauvais oeil. Il engagea un coup qui faillt se terminer dans la tête de l'Elfe. Eryndis s'approcha du ranger et du voleur (plutôt mignons ...). Eux aussi regardait la scène avec de plus en plus d'appréhension. Eryndis attendait la suite avec impatience en sachant combien une Elfe pouvait être énervée lorsqu'elle était décoiffée et que le coupable ne s'en repentait pas en milles excuses ...

[Eu je pense que si tu trouves un bon contexe pour entrer dans le donjon je pense que tu peux venir sans problème! Je sais pas sequ'en pense les autres mais bon ...]

[Moi, je suis pas contre ! A mon avis, tu peux venir dans cette quête ! Pas de problème !]

Le barbare était toujours aussi furax et refaisait la Waldorg's shoot goblins competition en direct...mais, en s'amusant à voir lequel des gobelins allait le plus loin après sa série de tirs, il remarqua une ombre se diriger droit dans la direction du groupe...

"Euh, je ne voudrais pas vous afoller, mais il me semble que nous avons de la visite..."

Dit-il en fixant l'ombre grandissante...

Visiblement, Inwe et Galderald se contre-fichaient du mensonge du voleur, et leur dispute continuait de plus belle. Comble du malheur, une deuxième elfe arriva et, hélas, cela n'arrangea point du tout les comme auraient pu le penser des... elfes ! Heureusement, les créatures n'étaient plus qu'au nombre de 3... 2 pardon, le barbare vient de se défouler sur une des 3. Et ils pourraient réfléchir et se calmer, même si avec deux elfes la réflexion serait sans doute difficile. Enfin, bref, le voleur donna un début de réponse au barbare :

"Tu sais, moi, tant qu'il y a des ..."

Il allait finir sa phrase par le mot "trésors", mais vu l'humeur massacrante du barbare mieux valait pour Meirrion prononcer un mot qui sonnait bien aux oreilles de l'humain sanguoinaire comme "combats". C'est d'ailleurs ce que finit par faire notre ami voleur :

"... combats ..."

Il avait déclaré ce mot avec une toute petite voix, comme s'il avait peur de déclencher une réaction imprévisible chez le barabare. En tout cas, il avait tout fait pour éviter une telle réaction. Les deux orcs, en avaient d'ailleurs profité pour se faire la malle, ils avaient finis par comprendre qu'ils n'avaient aucune chance. Le voleur constata cette attitude, qu'il avait d'ailleurs l'habitude d'employer et reprit :

"En tout cas, avec vos querelles, on en a laissé échapper deux. Le donjon entier risque d'être averti. On ferait mieux de bouger et vous... de vous réconcilier. Je dis ça pour l'intérêt du groupe..."

(HJ : Borborigos, tu peux nous rejoindre, si cela s'intègre bien avec notre situation, si tu n'es pas un boulet, si tu mets pas 36 plombes pour répondre. Voilà, je crois que j'ai tout dit^^.)

Le barbare acquieça la première proposition du voleur, cela avait plus d'intérêt que de se réconcilier avec, à ses yeux, la tarte d'elfe qui était dans le même camp que lui...Et il remarqua à l'occasion, la voix anormalement petite de Meirrion...

"Bon, très bien, je te suis ! Mais avertis-en la pleurnicharde et la nouvelle arrivante...Mais dis-moi, tu as mal à la gorge ?"

Heureusement, Gelderald ne vit pas les deux orcs se tirer en vitesse car cela aurait pu avoir des conséquences plus que sanglantes...Il aperçu aussi la créature dont il voyait seulement l'ombre grandir...Elle se révéla être un gros rat...Voyant sa possible idée baston évaporée, il tira dans un casque d'orc en visant le rat...Et sans regarder le résultat de ce tir, il se retourna vers Meirrion...

"Dis-moi, mon ami, es-tu sûr qu'il y a un trésor dans c'te donjon ? Nous parcourons ce corridor depuis longtemps et aucun signe de richesse, de bonnes armes ni de gros bestiau puissant à cogner...Ne t'ennuies-tu pas un peu comme moi ?"

Le barbare fit volte-face un bref instant et admira en esquissant un léger sourire le rat écrabouillé entre le mur et le casque à moitié enfoncé dans ledit mur...

Borborigos,un barbare qui était la avant le groupe d'aventuriers gisait sur le sol dans un coin de la piece a moitié mort car il était venu faire cette quette tout seul (quel con) et il était mort apres n'avoir tuer que 7 orqc ce qui n'est pas terrible pour un barbare.
il se dit en voyant du coin de l'oeuil un barbare un voleur et une elfe :
"il ont l'air amicaux je vait essayer de les attirés vers moi" et il s'ecriat faiblement:
"hey je suis la s'il vous plait aider moi qui que vous soyez"

[color=orange][HJ pas terrible comme entrée je sais mais vous verrait je vais m'integré grace a vous et je suis conecté presque tout les jours depuis noel s qui n'est pas le cas de tout le monde^^]

[Lol pour le double-post]

Eryndis avit eu du mal à tout suivre. Il s'était passé beaucoup trop de chose pour qu'elle comprenne. Elle s'étaitt finalement résignée à laisser les autres faire. Elle les avait suivis tandis qu'ils marchaient dans un couloir. Soudain un cri étouffé la tira de sa torpeur.

"hey je suis la s'il vous plait aider moi qui que vous soyez"

D'un mouvement brusque elle se retourna. Ele vit que celà venait d'un coin de la salle. Soudain elle la repéra, une masse imposante. Ses instincts d'elfe la poussèrent à venir à son secours. (Un homme en détresse ... non c'est pas sa tans pis !)

-'Venez un homme est la bas et il est faible !'

N'attendant pas leur réponse elle se précipita et commença à essayer de le soigner ce qu'ellle ne réussi pas très bien. Elle attendait une réaction du barbare ...

Gelderald entendit aussi cette plainte, mais il croyait que c'était l'aventurier qui faisait son intéressant histoire de draguer de l'elfe...Il remarqua Eryndis se précipiter sur un homme assez costaud et la vit le soigner...

*Ah, ben voilà, enfin un barbare...du moins, j'espère...Mhhh...Non, un barbare n'a jamais mal ! Enfin...Normalement...Rhââ et puis, zut à la fin !*

Gelderald fonça lui aussi vers l'homme souffrant, il le dévisagea et crut qu'il s'agissait de son compagnon d'enfance avec lequel, il fit cuire les hérissons de collection du grand chef du clan...(voir présentation) Il se mit à réfléchir longuement sans quitter des yeux l'homme affaibli...

*Ah, pétard, et si c'est lui...Non, il m'aurait peut-être reconnu, après toutes les conneries qu'on a pu faire ! Mais comment il s'appelait déjà, ce bougre de déconneur...Hünterbâald ? Non, ça c'était le savant du clan...Rederslârd ? Ah, non, ça c'est celui qui s'est fait pourrir à la fête de Crom...*

Et le barbare se perdit dans ses souvenirs...

Inwe était en train de raconter à Eryndis un épisode super important de sa vie (à savoir comment elle avait sauvé le poney blanc Dudulle) quand elle remarqua que sa nouvelle copine s'était volatilisée.

*oh ben! c'est devenu un fantôme?*

Apres cette reflexion fort interressante que l'elfe avait -heureusement- fait dans sa tête, elle remarqua que le barbare avait lui aussi disparu. Elle commença à exprimer sa joie en sautant dans tout les sens quand -quel ne fut pas son désarroi- elle aperçu l'autre elfe et le barbare à côté d'un truk agonisant. Le barbare semblait perdu dans ses pensées, ses lèvres bougeant comme s'il parlait à son ami imaginaire. D'abord déçue que le barbare n'est pas disparu, Inwe commença à se payer sa tête. Puis elle se souvint du truk agonisant et décida d'aller y jeter un n'oeil.

voyant qu les gens qu'il avait vu s'aprochaient de lui,borborigos fut tres tres tres étoné de voir Gelderald un ami d'enfance et s'empressa de lui dire:
"salut vielle branche commen,t vas tu depui que tu est partit du clan d'ou l'on ta banis pour rien du tout ??".
Il ne chercha pas a se rapeler les souvenir ou a raconter sa vie mais dit:"présente moi donc tes amis j'ai cru voir un voleur et deux elfes dont une qui croi me soigner alor qu'elle ne fait rien du tout.

Gelderald sourit en voyant son ancien ami...

"Eh, ben pétard ! Si j'avais su que je te retrouverais un jour ! La vache ! Ca fait maintanant 25 ans qu'on ne s'est pas revus ! En revanche, pardonne moi pour ma mémoire défaillante, mais je ne me souviens absolument plus de ton prénom...Et toi, que deviens-tu, hein, toujours fidèle à la bière des sables amère ? Ah, dire que notre première bouteille, on l'avait finie dans la tente du grand chef, juste après mon barbecue de hérissons ! Ah ! Toi, tu auras au moins filé à temps ! Revenons en au présent ! Voici mes compagnons : Eryndis, Princesse Tiwele" Il prononça le mot princesse avec une sorte de dégoût mêlé à de la haine... "Tadlor, un aventurier expérimenté et Meirrion, un voleur qui fait du combat aérien, je te montrerais, c'est tordant !"

Gelderald toussota sur cette parole, imaginant le voleur en question qui devait le regarder d'un regard foudroyant...

"Bon, quelqu'un aurait une potion pour guérir les blessures de...rhââ, de...notre ami ?"

[color=yellow]borborigos je m'apel[color:fbf6=yellow:fbf6] borborigos mais bon passon c'est quoi la quete que vous faite ici car moi je ne suis vennu que pour tuer des enemis sans but precis ????.
il regarda ensuite une des elfe en tournant la tete vers gelderald et lui dit hum mignone la princesse

Eryndis était contente que ses amis se soit ramenés vite fait. Le barbare avait l'air de connaitre le barbare qu'elle avait soigné (enfin essayé).

"salut vielle branche commen,t vas tu depui que tu est partit du
clan d'ou l'on ta banis pour rien du tout ??"présente moi donc tes amis j'ai cru voir un voleur et deux elfes dont une qui croi me soigner alor qu'elle ne fait rien du tout.

puis l'autre avait rétorqué :

"Eh, ben pétard ! Si j'avais su que je te
retrouverais un jour ! La vache ! Ca fait maintanant 25 ans qu'on ne
s'est pas revus ! En revanche, pardonne moi pour ma mémoire
défaillante, mais je ne me souviens absolument plus de ton prénom...Ettoi, que deviens-tu, hein, toujours fidèle à la bière des sables amère? Ah, dire que notre première bouteille, on l'avait finie dans la tentedu grand chef, juste après mon barbecue de hérissons ! Ah ! Toi, tuauras au moins filé à temps ! Revenons en au présent ! Voici mescompagnons : Eryndis, Princesse Tiwele" Il prononça le mot
princesse avec une sorte de dégoût mêlé à de la haine... "Tadlor, un
aventurier expérimenté et Meirrion, un voleur qui fait du combat aérien, je te montrerais, c'est tordant !"

Ensuite elle avait remarqué que sa
pote la princesse s'était aussi ramenée et que le barbare à terre (qui s'étaitrelevé et qui s'appelait Borborigos apparement) et qui avait dit un truc à son sujet après avoir marmoné une question qu'elle avait jugée sans interêt puisqu'elle ne parlait pas de shampoing. Soudain l'envie lui prit de placer quelques mots :

-'Vous savez que ma cousine Garuina fait la pub du shampoing
Loreliane!'

Mais Eryndis avait apris à se taire car un jour un de ses petits copains lui
avait fait remarquer qu'elle parlait trop ...

Gelderald répondit à la déclaration de Borborigos...

"Eh bien, mon cher Borborigos, sors toi vite cette idée de la tête ! Tu n'es pas le seul à penser ça ! Notre ami Meirrion, le voleur et Tadlor ont eux aussi une petite idée derrière la tête ! Mais je n'en reviens pas, suis-je le seul à ne pas succomber au charme écoeurant de ce comcombre ambulant ?"

Gelderald baissa la voix car il s'était enflammé sur ses dernières paroles et il remarqua que Eryndis s'intéressait de plus en plus à leur conversation...

"Quand à Eryndis, malgré ma haine farouche contre les elfes (oui, à cause d'eux, au bois de Glandorn, je suis passé pour un brimborion) je la trouve...Normale...pas de geste de provocation, rien, tandis que l'autre tarte se baisse devant toi pour soi-disant nettoyer sa botte...Notre pauvre voleur a eu le droit à cette désinvolture..."

Entendant la réplique de Eryndis, Gelderald lui répondit...

"Quand à moi, je connais le nain qui a gâché cette publicité ! C'est un ami qui tient une auberge à Valtordu !"

bon maintenant que je vous conné si vous me disiez quelle est votre quete que je me joigne a vous et qu'on la finnisse vite.

[HJ désolé de ce post nul mais la je suis crever je me couche demain mes post seron meilleur aller longue vie au membre du forum]

[HJ: Perso moua si c'est pour écrire une seule ligne avec une faute d'ortho par mot tout ça pasqeu je suis fatiguée, j'écris rien et jvais dormir!^^ lol]

Inwe était en train de scuter le barbare affalé par terre lorsqu'elle surprit le ton haineux de Gelderald lorsqu'il la présenta. Elle se tourna vers lui et lui fit un geste qu'il ne vaut mieux pas décrire. Ensuite, Inwe se surprit à rougir (elle avait sortit son miroir pour se recoiffer) quand Borborigos lui fit un compliment. Puis elle rougit de rage quand Khéradras la traita de "concombre ambulant"

*ah ben il peut l'ouvrir sa grande gueule lui! nan mais jvous jure! Avec ses muscles trop musclés, qu'est-ce qui lui prend? qui c'est qui lui à demandé de se mettre dans cet état là? alala, décidemment le bodybuilding ça lui réussit pas!*

Suite à cette pensée on ne peut plus haineuse envers le barbare, l'elfe entendit Eryndis qui disait que sa cousine a fait la pub du shampoing Loréliane.

"Waoooow!! J'ai crée un fan-club spécialement pour elle à Elvandar!!! C'est quand que tu mla présente?? ah! mais c'est pour ça que tes cheveux sentent si bons..."

Et elle continua ainsi jusqu'à ce qu'Eryndis se mettent à répondre à toutes ses questions

-'Waoooow!! J'ai crée un fan-club spécialement pour elle à Elvandar!!! C'est quand que tu mla présente?? ah! mais c'est pour ça que tes cheveux sentent si bons...'

Eryndis était honorée, c'est pour celà qu'elle s'empressa de répondre

'Eh bien pour la présentation c'est simple je t'arrangerais sa quand tu veux..., quand on seras sortit de ce trou paumé ; Elle sera contente quand je lui dirait que t'as monté un fan club! Au fait j'essayerais de t'en avoir des gratos !'

Elle avait répondu vite afin d'essayer d'oublier que Khéradras avait dit à son sujet et bête comme elle était elle l'avait pris comme un compliment. Vexée du compliment de Borborigos pour Inwe elle se mit à bouder et pour se consoler elle repensa au fameux jour où elle avait cassé ce fameux nain. Elle se leva et se mit à marcher en se mettant à songer aux oiseaux. Elle attendait que d'autres choses se déroulent...