Gifle de Namzar
On considère à tort qu’une gifle ne peut pas faire beaucoup de dégats. Et bien, essayez donc celle d’un géant de 8 tonnes.
C’est peu avant la chute de l’empire Menzzorien que fut écrit ce sort, oeuvre de
Lucien Namzar l’Inconscient, Troisième Sorcier de la cour du roi Simmons (lui même surnommé Baillement-de-Feu vers la fin de son règne).
Namzar avait étudié les géants des collines d’Altrouille, et tenta pendant plusieurs années d’en capturer la force. Il fut plusieurs fois blessé lors de ses approches et de ses tentatives de communiquer avec ces êtres, dont l’intelligence ne dépasse jamais celle d’un enfant de 2 ans. La technique de combat de ces géants fascinèrent Namzar : ne désirant pas s’encombrer d’une arme dont ils ne comprennent pas le fonctionnement, les géant se baissent, et balayent l’ennemi d’un revers de la main.
Après avoir mis au point son sortilège de captive-force et essuyé une baffe de plusieurs tonnes, Namzar mit au point sa célèbre Gifle sur son lit d’hopital, avec son bras valide. Il mourut quelques heures plus tard d’hémorragies internes multiples.
La Gifle de Namzar nécessite une préparation mentale de quinze secondes, et se lance directement sur l’ennemi. La force du géant, en général amoindrie si le jeteur de sort est novice, lui arrive en pleine face et sous forme d’onde de choc invisible, l’envoyant bouler dans une direction quelconque.
Malgré son bourrinisme affligeant, ce sort est assez précis, et touche rarement les équipiers.
source : http://encyclopedie.naheulbeuk.com